En arrivant au boulot, dans un quartier déshérité, en plein coeur de la ville.
Prêter pour une fois un regard à ces "mauvaises herbes"
nées dans un interstice minuscule entre deux pavés.
La vie qui rayonne, fière, à travers elles,
La vie qui rayonne, fière, à travers elles,
malgré les murs gris, la saleté, l'indifférence des passants.
Dans la lumière du premier matin d'automne.
Dans la lumière du premier matin d'automne.
8 commentaires:
C'est une belle métaphore de ton travail...
la nature est moins regardante que certains humains... je trouve ça plutôt encourageant ! Merci ;-)
il est beau ce message, très beau. et merci oui de le partager cet instant là ;)
Ces photos et cette douce musique...je me sens transportée (-:
la poésie urbaine... beau regard !
Magnifique texte et je rejoins Steph, quelle belle métaphore... Demain mat, un ptit oxfam dailly-café ? :-)
joli... vraiment...
Une amie les appelle des plantes kamikaze ces fleurs des pavés ... quel beau regard tu portes là !
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